La bonniche esclave

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
Compte anonymisé
il y a 11 ans

J'avais 18 ans. J'étais avec 2 copines de mon age. Mes parents étaient partie et on devait passer le we toutes les trois, du vendredi soir au dimanche soir. Avant leurs arrivées, j'avais mis la table et fait les lits. Valérie arrive: Jeans, chemisier, chaussure plate en cuir. Puis Carole avec les pizzas: Pantalon, tee shirt, chaussure plate en cuir. Moi, j'avais mis une robe noire, mi-cuisse et des escarpins à petit talon. On s'installe au salon, elles dans les fauteuils et moi sur un pouf (ainsi j'étais plus bas qu'elles et moins bien installée). On discute un moment... Puis Carole lance: -On pourrait peut-être manger non? -Oui bonne idée, dit Valérie. -Bon, passer à table, je vais découper la pizza. -On va t'aider. -Non, non. Vous êtes mes invitées, je ne vais pas vous faire travailler. -Bon comme tu veux. Je pars dans la cuisine. Pendant que je découpe la pizza, je les entends discuter et rire. Puis j'arrive avec les assiettes. Je les pose devant elles et je m'assoie. -Wouahou, on est servit comme au restaurant. -Oui, renchérie Carole, il lui manque plus que le tablier. Je ne dis rien, mais au moment de retourner en cuisine, je fait un crocher par ma chambre et y récupère un tablier de soubrette que je m'étais acheté en cachette. Je prépare les assiettes et je reviens. -Alors là c'est le restau chic. -Moi je trouve qu'elle fait plutôt bonne comme ça, lance Valérie. Alors je lance le jeu en espérant qu'elles suivent. -Oui mademoiselle, je suis votre bonne à tout faire. Je suis là, à votre service. -Et comment vous appelez vous? -Gertrude mademoiselle. J'avais choisi volontairement un prénom ridicule pour m'humilier d'avantage. A l'énoncer de ce prénom, mes copines éclatent de rire. C'est Carole qui reprend la première ses esprits et qui entre le plus dans le jeu. -Très bien Gertrude. Débarrasser cette place. La personne qui était là ne reviendra plus. -Bien mademoiselle, dit-je avec une petite révérence. Valérie me regarde faire un peu surprise, mais ne dit rien. Moi je prends mon assiette, les couverts, le verre et part en cuisine. De là, je les entends discuter, sans pour autant comprendre ce qu'elles disent. Moi, je restais plantée au milieu de la cuisine, attendant la suite des événements, ne sachant pas si elles rentreraient dans mon jeu ou pas. -Gertrude. La voie de Valérie. Je pars directement dans le salon. -Mademoiselle a appelé? -Oui Gertrude. Y a t il autre chose de prévue au menu? -Il y a du fromage et un dessert mademoiselle. -Je veux bien un bout de fromage, lance Carole. -Moi aussi. -Bien mesdemoiselles. Aussitôt, je commence à débarrasser la table. -Mais que fait tu? -Je vous change les assiettes mademoiselle. -Ah oui très bien. Je pars en cuisine, prend un plateau, met les assiettes et les couverts et repart dans le salon. Là, je remet la table, pendant que mes copines discutent comme si je n'existais pas. Je me sentais très humilier d'être traitée ainsi, mais cela me plaisait énormément et j'espérais vraiment qu'elles continueraient. Je repart en cuisine et rapporte le plateau de fromage et le pain. Puis, je repars en cuisine. Je range un peu la vaisselle. -Gertrude. -Oui mademoiselle. -Le dessert. -Bien mademoiselle. Je reprend le plateau, débarrasse, remet la table, apporte le dessert et le sert. Mais au lieu de retourner à la cuisine, je me recule dans un coin de la pièce et attend. Elles continuent de discuter sans se soucier de moi. -C'est quand même agréable de ce faire servir, lance Carole. -Oui, et en plus ça nous coûte rien. -Ben oui: au restau on paye, la bonne on la paye. Là on ne paye rien. -C'est vrai ça. Gertrude tu peux débarrasser. -Bien mademoiselle. Elles repartent dans la partie salon pendant que je débarrasse. Je pose tout dans la cuisine et je reviens les voir. -Avez vous besoin de quelques choses mesdemoiselle? -Non merci Gertrude. Je fait une révérence et repart en cuisine. -Ou va tu, m'interpelle Carole. -Faire la vaisselle mademoiselle. -Attend on va t'aider, lance Valérie en ce mettant debout. -Valérie, depuis quand veut tu aider les domestiques à faire la vaisselle? -Arrête, faut pas pousser. C'est pas notre esclave. Le mot était lâché. A moi de bien jouer le coup. -Et pourquoi pas? -Pourquoi pas quoi, demande Carole. -Si vous voulez, je suis votre esclave. Elles me regardent un peu éberluée. C'est Carole qui réagit la première. -Tu serais d'accord pour être notre esclave? -Oui. -Pour le we? -Oui. -Et tu fera tout ce qu'on te demandera, interroge Valérie qui, enfin, à l'air de ce prendre au jeu. -Vraiment tout? demande Carole. Aie, ça va aller peu être plus loin que je le pensais, mais plus question de faire marche arrière. C'est une trop grande chance. -Oui. -Bon d'accord. A partir de maintenant, tu es notre esclave, dit Carole. -Elle doit nous appeler comment? demande Valérie. -Ben Maîtresse bien sur. Maîtresse Carole et Maîtresse Valérie. Elle doit nous vouvoyez et baisser les yeux devant nous. Instantanément, je baisse les yeux. -Bien. Voila une esclave obéissante. -Ca s'utilise comment une esclave? demande Valérie. -Ben... euh... On lui fait faire ce qu’on n’a pas envie de faire, on la fait travailler, on l'humilie, on la maltraite, on la fouette, on l'enchaîne... Et après je ne sais pas. On verra au fur et à mesure. -Tu crois qu'on peu lui faire subir ça? demande Valérie. La malmener, l'attacher, l'humilier... -Ben, en principe oui. Tu es d'accord esclave? -Je suis votre esclave Maîtresse, votre propriété, votre objet. Faite de moi ce qu'ils vous plaira. -Tu vois, elle est d'accord, dit Carole. -Bon. Ben il faut trouver de quoi l'attacher et la corriger. -Tu as entendu esclave. Exécution. -Oui Maîtresse Carole. Je fait une révérence et part. Direction ma chambre. La je sort une cravache, un martinet, collier de chien et une laisse, oubliant volontairement de quoi m'attacher. Je met le tout sur un plateau et me présente devant mes Maîtresses. -As tu tout esclave. -Oui Maîtresse Carole. -Alors a genoux et montre nous ça. Je m'agenouille et présente le plateau. -Et bien. C'est quoi tout ça? -Le martinet c'est quand on est pas sage avec mes frères et soeurs. La cravache, c'est quand j'ai fait du cheval (ce qui est faux), Le collier et la laisse elles étaient à notre chien (ce qui est faux aussi). -Mais c'est tout neuf. -Oui. Il est mort peu après. -On dit 'Oui Maîtresse Valérie', esclave. -Pardon Maîtresse Valérie. -Mieux que cela. -Je supplie Maîtresse Valérie de bien vouloir pardonner à son esclave la faute qu'elle a commise, et se prosterne à ses pieds pour implorer son pardon. -Et bien va y. Pose le plateau et prosterne toi devant moi. -Oui Maîtresse Valérie. Je pose le plateau, me place devant Valérie et me prosterne, face contre le sol, juste devant ses chaussures. -Je pense que cette faute mérite punition non? demande Maîtresse Carole. -Mmmoui, je pense aussi. -D'autant plus qu'elle n'a rien apportée pour pouvoir l'attacher. -Ah oui c'est vrai ça. Quelle punition lui donne-t-on? Carole réfléchie un moment. -Esclave, as tu de la corde ou des chaînes ici? -Oui Maîtresse Carole. -Ou ça? -Dans le garage Maîtresse Carole. Nouveau silence. -On pourrait la faire mettre nue, on lui donne 10 coups de martinet et on l'envoie au garage chercher ce qu'il faut, dit Carole. -D'accord. Esclave debout. Je me lève. -Déshabille toi esclave. -Oui Maîtresse Valérie. Je commence par quitter les chaussures, puis ma robe et mon sg. -On a dit nue, esclave. -Oui Maîtresse Carole. A ce moment, je glisse deux doigts de chaque coté de ma culotte la décent et la quitte. J'étais entièrement nue, les yeux baissés. J'avais honte d'être à poil devant ces filles. Mais j'adorais cela aussi. -Bien. Tourne toi. Tête droite et mains sur la tête. -Oui Maîtresse Carole. Je me tourne et me met en position. -A toi Valérie. J’entends Valérie ce lever du fauteuil. -Tu vas compter les coûts à haute voix et tu diras merci. Compris esclave? -Oui Maîtresse Valérie. -Bien. J’attends, sans bouger, le premier coup. Soudain, je sens vaguement les lanières sur mes fesses. Mais je ne suis même pas sur qu'elle est voulut frapper tellement c'étais faible. Aussi je ne dis rien. -Et alors esclave. Tu ne comptes pas? -Pardon Maîtresse Valérie, mais le coup était tellement faible que j'ai cru que c'était juste pour mesurer la distance. -Tu veux dire que je dois taper plus fort. -Oui Maîtresse Valérie. -Mais... Beaucoup plus fort. -Oui Maîtresse Valérie. -Bon. Un instant de silence, puis je sens de nouveau les lanières, assez fort pas suffisamment pour me faire mal. -Un, merci Maîtresse Valérie. -C'est mieux? -Oui Maîtresse Valérie, mais encore trop faible. -Si ça continue, elle va me demander de taper de toutes ma puisance, rigole Valérie. C'est ce que tu cherche non esclave? -Si telle est le désire de ma Maîtresse... -Très bien, lance Valérie. Alors les prochains tu va les sentir. Un long silence, suivit d'un 'han' de bûcheron. Les lanières du martinet cingle mes fesses. -sss... Deux, merci Maîtresse Valérie. -Ca va comme ça? -Oui Maîtresse Valérie. -Bon. Nouveau coup. Je sert les dents, car maintenant elle frappe fort, très fort même. -Trois, merci Maîtresse Valérie. Quatre, merci Maîtresse Valérie. Cinq, merci Maîtresse Valérie. Une pause. -C'est pas trop pratique comme ça. Il faudrait la mettre dans une autre position. -A 4 pattes. Dos bien cambré pour nous offrir ses fesses. -Ouiii, super. Esclave, exécution. -Oui Maîtresse Valérie. Je me mets en place. Valérie se place et frappe. -Six, merci Maîtresse Valérie. Sept, merci Maîtresse Valérie. Huit, merci Maîtresse Valérie. -C'est mieux? demande Carole. -Oh oui bien mieux. -Je peux essayer? -Ah non c'est ma punition. -Remarque j'essaierais après. C'est notre esclave, elle est là pour ça. Pas vrai esclave? -Oui Maîtresse Carole, je suis là pour votre plaisir. Valérie reprend. -Neuf, merci Maîtresse Valérie. Dix, merci Maîtresse Valérie. -A moi, dit Carole -Va y. Valérie lui donne le martinet. Carole se place et frappe... encore plus fort que Valérie. -Ahhh... un, merci Maîtresse Carole. Mmmm... Deux, merci Maîtresse Carole. Ssss... Trois, merci Maîtresse Carole. Je commence à me trémousser un peu. -Je crois que ça commence à faire de l'effet, dit Carole. -Oui, ca devient rouge, rajoute Valérie. Carole frappe. -Quatre, merci Maîtresse Carole. Cinq, merci Maîtresse Carole. Six, merci Maîtresse Carole. Sept, merci Maîtresse Carole. Nouvelle pose. -C'était vraiment moins bien debout? -Oh oui sans problème. Essai tu vera. -Oui. Esclave debout et en position. -Oui Maîtresse Carole. Je me lève et me met en place. Je sens mes fesses tirées. J'ai mal, J'ai honte d'être corrigée comme ça, mais j'aime ça. Carole se place. -Huit, merci Maîtresse Carole. Neuf, merci Maîtresse Carole. Dix, merci Maîtresse Carole. -Ta raison c'est bien moins bien. -Je te l'avais dit. Bon on l'envoie au garage. -Ah oui, file esclave. -Oui Maîtresse Carole. -Non, Un moment. -Oui Maîtresse Carole. Carole va vers le plateau et prend le collier. -A genoux. Je m'exécute. Carole me passe le collier au cou. -Maintenant, debout et va au garage, chienne. -Oui Maîtresse Carole. Je suis sortie dans le jardin (entouré d'une haute haie qui la rend quasiment invisible aux voisins) et je rentre dans le garage. Le soir commençait à tomber, et l'air c'était radouci. Je frissonne un peu et je me lance dans la recherche. En fait, j'avais déjà tout ce qu'il fallait. Je récupère donc des petits anneaux à vis, des chaînes, de la cordelette. J'hésite un moment à prendre un bâillon de ma fabrication: une simple balle traversée d'une lanière de cuir. J'en étais la de mes réflexion quand... -Alors esclave, c'est pour aujourd'hui ou pour demain. Carole. Je me retourne vivement, baisse les yeux. -Pardon Maîtresse Carole. J'ai la chaîne et la corde Maîtresse Carole. -Quesque t'a dans les doigts? -heu... Allez au point ou j'en suis... -C'est un bâillon Maîtresse Carole. Carole croise les bras. -Voyer vous ça. Un bâillon. -Je viens juste de le faire. C'est pour cela que j'ai été un peu longue. -Peu importe. Viens ici. Je m'approche de Carole. Elle fait descendre de sa main la laisse, me la fixe au collier et prend le bout. -On rentre. -Oui Maîtresse Carole. Tenu en laisse je la suit sagement dans le salon. -Pose tout et va faire la vaisselle. -Oui Maîtresse Carole. -Attente. Tu as internet? -Oui Maîtresse Valérie. -Met le nous en marche. -Pourquoi faire? demande Carole. -Tu vas voir. Je vais dans le bureau, allume l'ordinateur et lance la connections. -Voila Maîtresse Valérie -Bien, la vaisselle. -Oui Maîtresse Valérie Pendant qu'elles surfaient, je part dans la cuisine et fait la vaisselle, nue, avec mon collier et ma laisse qui pend devant moi, entre mes seins. Jamais, je pensais que je pouvais être humilier à ce point. Mais c'était super bon et je commençais à être un peu existée. Une fois la vaisselle finie, je retourne au bureau. Carole et Valérie on l'air passionnée par ce qu'elles voient. Moi, je reste juste devant la porte bien droite, yeux baissés. Au bout d'un moment, Carole me remarque: -Quesque tu fout la, chienne. -J'ai fini la vaisselle Maîtresse Carole. -Et alors? Va faire le ménage dans le salon. Exécution faignasse. -Oui Maîtresse Carole. Je retourne dans le salon, en notant le changement de ton. Je commençai à me douter de ce qu'elle cherchaient sur la toile: des renseignements sur le SM. Je balai la partie salle à manger, range, vérifie que tout va bien. Puis retourne au bureau. -Encore toi. Tu fais chier maintenant, lance Valérie. -Pardon Maîtresse Valérie. Carole se lève, attrape la laisse et me tire sans ménagement devant le bureau ou est l'ordinateur. -A genoux. Je m'exécute. Carole attache le bout de la laisse à un pied de la table. Puis retourne s'asseoir comme si de rien été. Moi je reste là, à genoux, sans bouger, mentalement existée. Au bout de quelques minutes, Valérie lance: -Plutôt que de rester là a rien foutre, met toi à 4 pattes et lèche nous les chaussures. -Oui Maîtresse Valérie. Je me met à 4 pattes, avance, et commence à lécher les chaussures de Valérie. Il y avait un peu de poussière. Je m'appliquais pourtant pour tout bien faire disparaître. Je passe un bon moment sur ses chaussures. Puis, satisfaite de mon travail, je passe à celle de Carole. Pas mal de petite trace de saleté, que je m'applique à faire disparaître à grand coup de langue. Je commence à avoir sacrement soif. De plus, Carole ne me facilite pas le travail, changeant constamment ses pieds de place. -Où tu en ai chienne? Interroge Carole. -J'ai fini Maîtresse Carole. -On va voir ça. J’entends Valérie éteindre l'ordinateur. Carole se lève et détache la laisse. -Sort de la dessous esclave. Toujours à 4 pattes, je sors de dessous la table, tenu en laisse par Carole. Pendant ce temps, Carole examine ses chaussures. -Mmmoui, pas trop mal. Et toi Valérie? -Moyen, très moyen. Tu as fait les semelles aussi? -Non Maîtresse Valérie. -Et alors? C’est comme ça que tu nettoies les chaussures de tes Maîtresses. -Pardon Maîtresse Valérie. -Pardon pardon... J'ten foutrais des pardons, faignasse, godiche. Je n'osai plus bouger. Elles étaient telle que j'en rêver dans mes meilleurs rêves SM. -Suit, lance Carole. Elles partent au salon. Je les suis toujours à 4 pattes. Carole s'assoie et pose ses pieds sur le bord de la table basse, me presentant ses semelles -Lèche esclave. -Oui Maîtresse Carole. J’étais écœurée, dégoûtée. Pourtant je léchais. Valérie était juste derrière moi, la cravache à la main. -Cambre toi salope, offre nous ton cul de putain. Je me cambre. Instantanément Valérie m'applique un fort coup de cravache. -Applique toi, appui. J'essai de m'appliquer, de ne pas avaler non plus. -A moi, lance Valérie. -C'est propre? -Oui assez. -Bon. Carole se lève et laisse la place à Valérie. -Lèche trou du cul. De nouveau, je lèche les semelles, toujours encouragée par les coups de cravache. -Ca suffit. Debout. Je me lève. -Va te laver la bouche et revient ici. -Oui, Maîtresse Valérie. Je part dans la salle de bain, me rince la bouche, en profite pour boire un peu et je reviens. -A 4 pattes. Je m'exécute. -Tu vas compter les coups à rebours en partant de dix. Tu comptera ainsi pour chaque coté de tes fesses. Et tu nous remercieras bien sur. Le premier coup de cravache tombe. C'est Valérie qui frappe. -Ahhh... Dix, merci Maîtresse Valérie. Neuf, merci Maîtresse Valérie. Dix, merci Maîtresse Valérie. Neuf, merci Maîtresse Valérie. Huit, merci Maîtresse Valérie. ... Apres la série de Valérie c'est au tour de Carole mais ça ne se passe pas comme je me l'attendais. -Debout, lance t elle. Je me lève. -Mains dans le dos. Je m'exécute. Carole m'enchaîne les mains puis les pieds. -Ouvre ta gueule, chienne. J'obéi. Carole me met le bâillon sous le regard mi-amusée, mi-interrogateur de Valérie. Puis en se place devant moi. Elle prend le martinet, l'arme et frappe. Le coup tombe sur mes seins. La douleur est atroce. Malgré le bâillon, je pousse un cris, extrêmement étouffée. Carole frappe de plus belle. J'en peux plus, je souffre horriblement. J'ai l'impression que mes seins vont éclatées. Puis elle s'arrête. Elle m'enlève le bâillon. -La prochaine fois tu lécheras les semelles? -Oui Maîtresse Carole, je lécherais. -C'est bien. -Bon, quesqu'on fait maintenant, demande Valérie. -Ben, elle devait faire le ménage de la salle à manger. On va voir le résultat. -Ah oui c'est vrais. Esclave tu ne bouges pas. -Bien Maîtresse Valérie. Je ne risquai pas de bouger, car j'étais toujours enchaînée. -Tu as balayée? demande Valérie. -Oui Maîtresse Valérie. -Et tu as passée la serpière? demande Carole. -Non Maîtresse Carole. Carole revient devant moi rapidement. -Et c'est comme ça que tu fais le ménage? C'est comme ça que tu nous obéi? Et sans attendre, elle m'applique une paire de claque. -Pardon Maîtresse Carole, pardon. -Pas de pardon. Tu n'as pas nettoyé le sol, tu vas le faire avec ta langue. Elle a été efficace pour nos chaussures, elle la sera bien pour le sol non? Je baisse encore plus les yeux si c'est possible. -Oui Mairesse Carole. -Bien. Carole passe derrière moi, me détache, m'enlève la laisse. -A 4 pattes esclave. -Oui Maîtresse Carole. -Va sous la table et commence à lécher. -Bien Maîtresse Carole. A 4 pattes, je part sous la table et commence à lécher par terre. Valérie et Carole me regardent un moment, très amusées par ce spectacle. Puis, au bout d'un moment, elles vont dans la partie salon de la pièce, prennent un film en vidéo, et commence à le regarder. Je lèche pendant presque 2 heures. Je ne sens plus ma langue. J'ai l'impression qu'elle est usée. Le film fini, Valérie viens voir ou j'en suis. -Alors esclave, c'est bon de lécher par terre? Je suis sur que tu aime ça lécher par terre hein? -Oui Maîtresse Valérie, J'aime ça. -Dit le mieux que ça, putain. -J'aime lécher par terre Maîtresse Valérie. -As tu fini? -Oui Maîtresse Valérie. -Fait voir. Je m'écarte, tout en restant à 4 pattes. Valérie fait le tour, examine... -Oui, c'est pas mal. Bon, on va se coucher? -Oui. Le temps de préparer l'esclave pour la nuit. Puis se tournant vers moi. -Esclave debout. Je me lève. Là, Carole prend une longue chaîne, attache un bout au collier, passe par le poignet droit qu'elle me fait mettre au niveau de la taille, descend sur la cheville droit, passe à la cheville gauche avec 20 cm de débattement, remonte sur le poignet gauche qu'elle attache à la même hauteur que le droit et fini sur le collier. Puis elle prend deux autres chaînes: l'un qu'elle fixe entre mes deux poignets devant et l'autre en passant par derrière. Ainsi je ne peut ni serer les mains, ni les écarter, et je ne peux faire que des pas de 20cm. Pour finir, Carole me met le bâillon et la laisse. Valérie, elle, me fixe une pince à linge sur chacun de mes tétons et deux sur les lèvres de mon sexe. Je trouvais cela dangereux, de me faire dormir avec le bâillon. J'aurais pu m'étouffer dans mon sommeil. Mais ces préparatifs étaient destinés à tout autre chose. -Et si nous allions faire un petit tour dehors avant d'aller de coucher? Propose Valérie. -Très bonne idée ça. -Allons y. -Et que faisons nous de notre esclave? -Ben, elle n'a qu’à nous accompagner. -Ah ben oui tien. Bonne idée. Et attrapant la laisse, Carole tire dessus pour m'obliger à la suivre. -Aller vient, esclave. J'étais verte. Non, je ne voulais pas sortir ainsi. Valérie, qui avait pris le martinet et la cravache, n'en appliquât une copieuse série sur les fesses. L'ensemble combiné de leurs efforts fini par portée, et je me retrouvais, nue, enchaînée et bâillonnée, dehors, à la merci de mes copines. Pendant que Carole prenait des mains de Valérie la cravache, cette dernière fermait la porte à clé. Puis elle se retourne vers moi. -Tu vois esclave, tu as tout intérêt à être très docile, obéissante et soumise, sinon... Elle ne fini pas sa phrase, mais je compris toute la menace qu'elle sous entendait. J'étais prise au piège de mon propre jeu. Il fallait que je le joue jusqu'au bout maintenant. -Aller, en route chienne, dit Carole en tirant sur ma laisse. N'ayant plus le choix, je me suis mise à la suivre docilement. Il était très tard (2 heures du matin sonne à ce moment là) et j'espère que l'heure tardive fera que l'on ne croisera personne. Mais ce que je n'avais pas prévu, c'était le bruit que feraient les chaînes en marchant. J'aurais eu dix mille grelots que je n'aurais pas faits plus de bruit. -Au moins quand notre esclave sort, elle ne passe pas inaperçu, dit Carole -Surtout que sa tenu est on peu plus original. Et la dessus, elles éclatent de rire. Moi, si j'avais pu disparaître dans un trou de souris, je l'aurais fait immédiatement. Mes copines prirent le chemin d'un petit parc, pas très loin de la maison. Mais pour moi qui ne pouvait faire que de petit pas, j'avais l'impression qu'il était à l'autre bout de la planète. En plus, avec le bruit que faisaient les chaînes, c'était comme si je déplaçais avec une alarme en marche. A chaque pas, mes seins ballottées, augmentant la douleur des pinces. De même les pinces sur mon sexe qui frottaient à chaque pas et qui me faisait souffrir. Je regardais de partout pour vérifier que personne ne me voit. Régulièrement, Carole tirait sur ma laisse pour me faire activer. -Allons esclave, ne traîne pas. -On dirait qu'elle traîne exprès. -Elle veut peut-être être vue. Valérie pouffat à la remarque de Carole. Apres 10 minutes de marche, on arrive dans le parc. La au moins, je suis à l'abri des regards. On passe du goudron au gravier. Par rapport au gravier, le goudron est très confortable. Les graviers me faisaient très mal. Mais, très vite, Carole et Valérie m'emmenèrent sur l'herbe. Elles vinrent s'asseoir sur un banc, me laissant plantée debout devant elle. -A genoux chienne, lance Carole. Instantanément, je tombe a genoux devant elles. Une fois fait, elles se mettent à discuter comme si de rien n'était, comme si c'était tout à fait courant d'avoir une esclave enchaînée à genoux à coté de soi. Au bout d'un moment, je frissonne car j'ai un peu froid (pour mes copines, pas de problème car elles sont couvertes). Valérie s'en aperçoit la première. -Oh regarde, notre chienne à froid. -Ah oui, on dirait. On pourrait peut être la détacher pour la faire courir? -Oui bonne idée. Esclave debout. Je me lève. Valérie me détache, m'enlève le bâillon et la laisse. Une fois fait. -A 4 pattes chienne. Je m'exécute. Valérie prend un bout de bois et le lance. -Va chercher va. J'avais horriblement honte, mais que faire... Aussi je pars vers le bâton à 4 pattes et je le rapporte en le tenant dans ma bouche. -Brave toutou, lance Valérie en me tapotant et caressant la tête, comme elle l’aurait fait à un chien. Les pinces me faisaient souffrir le martyr. Elles me tiraient les seins, irriter mon sexe. Elles le remarquèrent et s'en amusèrent. Ce jeu durât un bon moment (1/2 heures je pense). -On marche un peu? demande Carole. -Volontiers. Esclave, tu nous suis. -Oui Maîtresse Valérie. Elles se mirent à marcher tranquillement, alors que je les suivait à un pas derrière, toujours à 4 pattes. -Bon on va renter maintenant. -Oui je commence à être fatiguée moi aussi. Carole ce tourne vers moi et me siffle. -Esclave au pied. J'arrive. Carole me met la laisse. -Avant de renter, on pourrait lui faire faire ses besoins non? -Ah oui, bonne idée. Le coin à chien est juste là. Oh non pas ça pitié. -Aller chienne, fait tes besoins. Pour une fois, je les implorais. -Non, pitié Maîtresse pas ça. -Comme tu veux. Si tu pence pouvoir te retenir jusqu'a dimanche soir. -Tu ne crois pas qu'on va te laisser les toilettes. Les toilettes c'est pas pour les esclaves, mais pour les Maîtresses. -Alors, tu veux toujours pas faire? J'étais complètement vaincu. -Oui Maîtresse Carole, je vais faire. -A la bonne heure. Mais dépêche toi, on n'a pas que ça à faire. Et sous le regard de mes deux copines (ou plutôt de mes deux Maîtresses), je m'accroupie comme une chienne et fit pipi. Carole et Valérie éclatèrent de rire en me voyant faire et se moquèrent de moi. Moi j'étais plus morte que vivent. Cette situation dépassait mes fantasmes les plus fous. Carole chuchote un mot à l'oreille de Valérie. -Oh oui. Esclave, fait caca aussi. Alors là, j'étais liquide. Non je ne pouvais pas faire ça là, pas devant elle... Et pourtant, j'avais envie. -Allez dépêche toi. -Oui Maîtresse Valérie. Apres un moment d'effort, je réussi à faire caca, sous les expressions de dégoût et les insultes de mes copines. -Aller ça suffit on rentre. Oh oui, on rentre. J’étais assez humilier comme ça aujourd'hui. Elles me font mettre debout, me bâillonne et me donne les chaînes, le martinet et la cravache à porter. Puis Valérie prend la laisse et on part sur le chemin du retour. Celui ci me sembla plus simple et plus discret, car là, je pouvais marcher normalement et je ne faisait plus de bruit. Juste avant de rentrer dans la résidence, elles me font entrer dans le local poubelle. -Pose les affaires esclave. Je pose tout. Carole fait le tour des poubelles, en ouvre une. Elle détache la laisse et me retire les pinces (ce qui fut très douloureux et très bon à la fois). -Monte là dedans esclave. La poubelle qu'elle a choisie et celle qui pue la plus. Non sans mal, car la poubelle est haute j'arrive a y monter dedans. -Enfonce toi bien. J'essai de glisser vers le fond entre les boites vides, les reste de repas pourrit, et les couches culottes usagées. Une fois au milieu du contenaire, elles me recouvre d'autres sac. -Le jour ou tu ne servira plus, on te jettera comme ça esclave. -Pour l'instant, tu vas passer la nuit ici. La nuit? Oh non pas ça... -Bonne nuit ordure. Et elles sortent du local en éclatant de rire. J’entend la porte puis plus rien. 4 heures sonnent. Puis le silence. Je n'ose pas bouger. J'entend sonner le quart puis la demi. Oui, elles on vraiment décider de me faire dormir ici, mais soudain, j'entend la porte s'ouvrir et le couvercle de contenaire s'ouvre. -Aller, sort de là, poubelle. C'est la voie de Valérie. Je me dépêche de remonter à la surface et de sauter hors de la poubelle. -Pouat, tu pues. Une vraie infection. T'es vraiment un déchet. Valérie rentre, je la suis. Elles m'envoient directement sous la douche. Après un bon savonnage, l'odeur est partie. -Bon on se couche. Je les suis dans la chambre. Leurs deux lits sont parallèles, séparer l'un de l'autre de deux mètres. Elles me font coucher sur le dos, entre les deux lits, et l'attachent aux pieds des lits. Le bras et la jambe droite, au pieds des lits de droite et le bras et la jambe gauche, au pieds du lit de gauche. J'avais les bras et les jambes largement écarter, mon sexe ouvert et béant. -Regard on dirait une pute. -Houai, elles doivent certainement ouvrir les cuisses ainsi. Puis elles se couchèrent sans plus se soucier de moi, se servant de moi comme descente de lit. -Allez, bonne nuit esclave. -Bonne nuit esclave. -Bonne nuit Maîtresse Carole. Bonne nuit Maîtresse Valérie. Elles éteignent la lumière, puis, après quelque mouvement dans le lit, je n'entends plus que le souffleur régulier de personnes qui dorment.

Dire que j'ai passé une bonne nuit serait un énorme mensonge. Toutefois, je réussis, quand même à dormir un peu, malgré l'inconfort de ma position. C'est vers le matin que je dormais le mieux quand soudain, une intense douleur me déchira la poitrine. C'était Maîtresse Valérie qui, armée du martinet, me fouettait les seins pour me réveiller. -Allez, allez, réveil toi paresseuse. -Ah... Ah... Je suis réveillé Maîtresse Valérie, je suis réveillé. Valérie continua un peu, sous le sourire de Carole. -Bonjour Maîtresse Valérie, bonjour Maîtresse Carole. -Bien. Maintenant que tu es réveillée, on va te détacher, puis tu nous prépareras le petit déjeuné que tu nous serviras au lit. -Oui Maîtresse Carole. Elles se lèvent, me détache, me mette mon collier et se recouche. -Allez, au travail bonniche. -Oui Maîtresse Valérie. Je pars en cuisine, prépare le plateau de Carole: Café, pain, beurre, confiture. Je le porte et lui pose devant elle, puis, je repars prendre celui de Valérie: Thé, biscotte, confiture. Une fois les deux plateaux devant mes Maîtresses, je me place debout entre les deux lits, face à elles, les yeux baissés. -A genoux, poubelle, lance Carole Je m'exécute. -Prosterne-toi, putain, complète Valérie. Je me prosterne face contre terre. -Dit moi, salope, as-tu bien dormis, attacher comme une pute? -Oui Maîtresse Carole, j'ai bien dormis Maîtresse Carole. -Tu as aimé dormir les cuisses ouvertes et le sexe à l'air, offert à tout le monde? -Oui Maîtresse Valérie, j'ai aimé Maîtresse Valérie. -C'est une vrais salope, hein. -Oui tout à fait, confirme Carole. Bon, debout. Débarrasse nous et fait la vaisselle et les lits. -Oui Maîtresse Carole. Je me lève, retire les plateaux et part en cuisine avec. Pendant que je fais les lits et la vaisselle, mes copines se lavent. Carole: Pantalon noir, chaussure noir en cuir, chemisier à fleur. Valérie: Pantalon beige, chaussure blanche en cuir, polo blanc. -Bien esclave. J'ai vu, dans le panier à linge, des draps sales. Il serait bon que tu les laves. -Bien Maîtresse Carole. -Toutefois, je pense que la seule bonne lessive doit être faite à la main. Comme il n'y a plus de lavoir, tu vas faire la lessive dans la baignoire. -Bien Maîtresse Carole. -Au travail, bonniche. Je pars dans la salle de bain. -Ah, une dernière chose. -Oui Maîtresse Carole. -Tu les laves à l'eau froide bien sur. -Bien Maîtresse Carole. Je n'avais jamais fait ça, et je n'en voyais pas l'intérêt. J'ai vite compris. Pour pouvoir laver correctement, je devais m'écraser les seins sur le bord de la baignoire. L'eau froide me glaçait les mains, le linge était lourd et pénible à manipuler. J'ai lavé ainsi de 9h à 11h. Je n'en pouvais plus, je ne sentais plus mes bras, mes mains et mes seins me faisaient mal. Pendant ce temps, mes copines se prélassaient tranquillement devant la télé. A 11 heures, Carole, m'ordonne de pendre le linge puis de préparer le repas. -Pendant que j'y pence, tu mettras tous les déchets dans un sac à part: gras, croûtes, épluchures, restes... Compris esclave? -Oui Maîtresse Carole. Je pars dans la cuisine en me demandant pourquoi elle tient a ce que je mets les déchets de coté. Mais vite reprise par mon travail, je ne me pose plus trop la question. Vers 11h50, je met la table, puis je me présente toujours nue. -Oui esclave? -Le repas est prêt Maîtresse Valérie. -Va mettre tenue de bonniche et revient. -Oui Maîtresse Valérie. Je mets ma robe noire, le tablier, des escarpins et un serre tête blanc. Puis je me présente devant mes copines. -Regard comme elle est belle et soumise notre esclave-bonniche, s'exclame Valérie. -Oui mais elle sera plus belle comme ça. Et Carole se lève pour m'attacher la laisse. -T'a raison c'est mieux ainsi dit Valérie. Aller, a table. Je les ai servit à table, sans manger. Entre chaque plat, j'attendais dans un coin de la pièce, prêt de la table, debout, mains croisées devant sur le tablier et les yeux baissés. Pour faire changer de plat ou autre, Carole claquer les doigts et je devais réagir instantanément suivant ses gestes: Nouveau plat, servir a boire, couper de pain... -En tout cas, un bon point pour elle, elle cuisine pas mal. -C'est vrai, c'est pas mauvais, dit Maîtresse Carole. Puis j'ai servi le café au salon et pendant qu'elles le buvaient, je fis la vaisselle en étant nue, avec juste mon collier de chienne. Puis j'ai débarrassé le café, et je suis revenue prendre mes ordres. -Bien esclave. Cette après midi, nous avons prévu de faire les magasins. Aïe, je le sens mal ce coup. -Bien sur tu nous accompagnes. -Oui Maîtresse Valérie. -Mais comme on ne peut pas te sortir comme hier soir, on va t'habiller. -Bien Maîtresse Valérie. -Suit moi. Je la suis dans ma chambre. Là, elle ouvre l'armoire et sort un pull sans manche à col roulé et une jupe en jean, droite et qui descend au cheville. Je suis extrêmement surprise. J'avoue que je pensais avoir une jupe au ras des fesses... -Habille-toi esclave. -Oui Maîtresse Valérie. J'enfile la jupe et je passe le pull. Je passe le collier et la laisse sous le pull mais sur la jupe. -Non esclave. La laisse passe sous ta jupe. -Bien Maîtresse Valérie. Je comprends maintenant pourquoi la jupe longue. C'est pour cacher la laisse. Puis Carole et Valérie regard mes chaussures et sorte des escarpins à talon de 5cm. -Bah, c'est toujours mieux que rien. -Oui Mais j'ai une idée, lance Valérie. -Laquelle? -Tu vas voir. Valérie part avec les chaussures, puis revient une minute après. -Met les, esclave. -Oui Maîtresse Valérie. Je m'assoie, prend la première chaussure, l'enfile... et bute au fond. -Allez allez, dépêche toi. -Oui Maîtresse Valérie. Tant bien que mal, je les mets, me lève. -Marche. Je fais deux pas et fait une grimace. -Quesque tu as fait? demande Carole. -J'ai mis du papier au fond. Résultat, elle a une bonne demi pointure de moins. -Génial, lance Carole qui a l'air épaté de cette idée. -Elle va souffrir à chaque pas. Cela lui rappellera constamment sa condition. -Bien. Mais on n'a pas encore fini de la préparer. Esclave lève ta jupe. -Oui Maîtresse Carole. Je prends la jupe et la soulève jusqu'à mi-cuisse. Une fois fait, Carole m'attache les cuisses ensemble, juste au dessus du genou avec un débattement d'un centimètre. -Voila. Arrange toi esclave. Je descends ma jupe. -Marche un peu pour voir. Je fais quelques pas assez petit à cause de la corde. -Très bien. On a l'impression que c'est ta jupe qui t'oblige à marcher ainsi. -On rajoute les pinces, demande Valérie. -Ah oui. Lève ton pull salope, montre tes pies de vache. -Oui Maîtresse Carole. Valérie prend deux pinces, existe un peu mes tétons et place une pince sur chaque. -Voila, elle est prête. Range ton pull esclave. -Oui Maîtresse Valérie. Je baisse mon pull en prenant soin de ne pas trop frotter les pinces. -Bien. En route maintenant. Au garage, lance Carole. On sort. Valérie ferme la porte de la maison et secoue les clés comme hier. -Tu te souviens esclave? -Oui Maîtresse Valérie. Je dois être très docile, très obéissante et très soumise Maîtresse Valérie. -C'est bien. En route. Mes copines partent vers le garage. Moi, j'essaie de les suivre tant bien que mal. Mes pieds me font souffrir et j'ai mal aux seins. Là, Carole ouvre la porte du garage et sort la voiture. C'est une 106 deux portes. Valérie monte. Moi je reste plantée là l'air de dire "et moi je monte comment?" Valérie Baisse la vitre. -Le coffre est ouvert esclave. -Bien Maîtresse Valérie. C'est logique après tout. Je n’allais pas monter derrière... J'ouvre le coffre qui est vide a part une petite boite. Je m'y laisse presque tombée à cause de la jupe et des entraves qui me gène. Je me tasse au fond. Pendant ce temps, Carole sort de la voiture, passe derrière et ferme le coffre. -En route, lance-t-elle. Elle allume la radio dont les hauts parleurs sont sur la plage arrière et commence à rouler. A cause de la musique, je ne comprends pas ce qu'elles racontent. Quelques mots sans suite, des rires... Puis, au bout d'un moment La voiture s'arrête et le contact est coupé. J'entends les portes qui s'ouvrent, et se refermer. Puis le coffre s'ouvre. -Sort chienne. Comme je peux, je sors du coffre et je m'arrange un peu. Au moment où Carole va pour fermer le coffre, son regard est attiré par la petite boite. -Tient, on dirait... -On dirait quoi? demande Valérie. Carole plonge la main au fond du coffre et tire la boite qu'elle ouvre. -Alors ça c'est génial. -Quesque c'est? demande Valérie. Carole sort de la boite une petite télécommande et une sorte de collier. -Ca, c'est à mon père. C'est un collier de dressage. Et les piles sont bonnes. -Comment ça marche, demande Valérie. -Oh c'est très simple. Tu vas voir. Esclave quitte ton collier et met celui-ci à la place. -Oui Maîtresse Carole. Je détache la laisse du collier, fixe le collier que me tend Carole autour du cou, rattache la laisse et arrange le col. Carole passe derrière moi. Je la sens toucher le petit boîtier du collier. -Maintenant regard, dit Carole. Elle prend la télécommande et appui sur un bouton. Instantanément, je ressens une sorte de petite décharge électrique au niveau du collier. Surprise, je ne peu m'empêcher de faire la grimace. -Tu vois, le collier donne des impulsions électriques suivant le bouton que j'appuie. Et ça marche sur 500 mètres. -Génial. -Le bleu: courte impulsion. Le vert: impulsion moyenne. Le jaune: longue impulsion. Le rouge: impulsion forte. Comme ça, on pourra la punir sans que personne le sache, dit Carole. -Super génial, lance Valérie. Puis, Carole pose la boite dans le coffre, le ferme et verrouille la voiture. -Aller, en route esclave, dit Carole en accompagnant ses paroles d'une impulsion. -Oui Maîtresse Carole. Il était 14h. Je suis mes Maîtresses à un mètre derrière elles. On passe dans plusieurs magasins. Moi, je ne fais que les suivre et les servir. -Esclave, va me prendre un autre modèle, me chuchote Carole -Oui Maîtresse Carole, tout de suite. Bien sur, je devais porter tous leurs achats. Cela a durée jusqu'a 17h. J'étais épuisée et j'avais soif. J'avais mal aux seins, aux pieds et aux genoux. Des que je prenais un peu de retard sur elles, les impulsions électrique du collier (souvent le rouge) me réactiver. Mes copines se sont assissent tranquillement à la terrasse d'un café. -Toi, tu t'assoie sur le banc en face et tu nous regarde. -Oui Maîtresse Valérie. Elles burent tranquillement, tous en discutant, sans s'occuper de moi. Cela ne fit qu'augmenter ma soif et mon humiliation. Au bout de quelques minutes, je ressentie une décharge à mon collier. Maîtresse Valérie me fit signe de venir. -On retourne à la voiture. -Bien Maîtresse Valérie. Une fois à la voiture... -Pose les sacs dans le coffre. -Oui Maîtresse Carole Je pose les sacs et attend la suite des événements. -Monte dans le coffre et tasse toi bien. -Oui Maîtresse Valérie. Je monte dans le coffre et Valérie le referme et ferme la voiture à clé. -On a encore une course à faire. Attend nous sagement ici esclave. -Oui Maîtresse Carole. J'entend la voix de mes copines, ainsi que leurs pas qui s'éloignent, la porte du parking, puis plus rien. Le silence... Total. De temps en temps, j’entends des voitures, des portières, des voix, des pas... Au bout de quelques minutes, et malgré les douleurs et l'inconfort de ma situation, je m'endors car j'étais très fatiguée par ma journée et ma courte nuit. Soudain les portes de la voiture s'ouvrent... Puis le coffre. -Tu vas bien esclave? -Oui Maîtresse Valérie. Merci de vous préoccuper de moi Maîtresse. -Tu ne t'es pas trop ennuyée? -Non Maîtresse Carole, merci. -T'en fait pas, ce soir, on ne s'ennuiera pas. Carole balance un sac dans le coffre et le referme avant que j’aie pus voir ce que cela pouvait être. La voiture démarre. Apres un moment de route, on se retrouve devant le garage. Là, je sort, ramasse les sacs et on file à la maison. -Pose tous les sacs dans notre chambre et rejoint nous. -Oui Maîtresse Carole. Je vais dans la chambre, pose les paquets et revient. -Quitte tes chaussures, ton pull et ta jupe. Mais ne pers pas tes pinces aux seins. -Oui Maîtresse Carole. Je quitte mes chaussures, ma jupe et mon pull en prenant bien soin de ne pas toucher aux pinces. Puis à l'aide d'une paire de ciseaux, je coupe la cordelette des genoux. Valérie et Carole se lève et se place de chaque coté de moi. -On enlève les pinces à trois. Un... Deux... Trois. Elles tirent sur les pinces d'un coup sec, ce qui me fait hurler de douleur. Une fois de plus, je suis nue devant mes copines, avec pour tout vêtement que mon collier et ma laisse. -Bien esclave. Tu vas ramener ces affaires dans la chambre, tu ira dans la notre prendre nos pantoufles que tu rapportera dans ta gueule, à 4 pattes, comme une bonne petite chienne que tu es. -Oui Maîtresse Valérie. Pour ramener les pantoufles, je suis obligé de faire deux voyages, l'un pour les pantoufles de Carole, l'autre pour les pantoufles de Valérie. Bien sur, mes copines ne se sont pas gêner pour se moquer de moi, de ma position et pour m'humilier et m'insulter. -Bien, tu vas nous enlever nos chaussures et nous mettre les pantoufles, mais avant... Tu vas nous lécher les chaussures pour que tu les range propres. Exécution chienne. -Oui Maîtresse Carole. Je me prosterne aux pieds de Carole et commence à lui lécher les chaussures. -Regarde comme elle lèche bien. Je suis sure qu'elle adore cela cette chienne. -En tout cas, elle en donne l'impression, rajoute Valérie. Je fini assez rapidement le dessus des chaussures de Carole. Puis je m'arrête. -Quesque t'attend pouffiasse? -Pardon Maîtresse Carole mais je doit faire vos semelles aussi. -Ca ira pour cette fois. Met moi les pantoufles. -Oui Maîtresse Carole. Je déchausse Carole, lui met les pantoufles et applique deux longues bises sur chaque pantoufle. Puis je passe à Valérie. Là, le travail est plus dure: Sur des chaussures blanches, la moindre chose marque. Je passe parfois de long moment, à grand coup de langue pour tout faire disparaître. Contrairement à Carole, Valérie m'ordonna de faire aussi ses semelles. La aussi, le travail fut long et pénible, mais j'en viens à bout. Après avoir mis les pantoufles à Valérie, cette dernière m'ordonne de ranger les chaussures et de me laver la bouche. Bien sur, j'en profite aussi pour boire un bon coup. Puis je revient au salon prendre mes ordres. -A la cuisine, lance Valérie. Va préparer le repas. Et souvient toi de garder les déchets. -Oui Maîtresse Valérie. -Porte nous à boire avant. Deux verres de coca. -Bien Maîtresse Carole. Je prépare les verres et les sers sur un plateau, puis je retourne en cuisine. Et pendant que mes copines se prélassent, je prépare le repas. Je commençais à avoir sérieusement faim. Cela faisait presque 24h que je n'avais pas mangé. Et ce n'ai pas les deux petits bout de pizza de la veille qui n'on beaucoup nourrit. Comme à midi, je mets ma tenu de bonniche pour les servir. Mais avant de passer à table, Valérie m'ordonne d'aller chercher le sac noir dans la chambre. Ce que je fais immédiatement. -Vide le sac sur la table, bonniche. -Oui Maîtresse Valérie. Dans le sac je trouve: un god, un plug, des boules geisha, un tube de vaseline, une paire de menotte pour les mains et une pour les chevilles avec la chaîne un peu plus longue. Valérie se lève, me met le bâillon et les deux paires de menottes. -Accroupi toi. Relève ta jupe et ouvre moi ton sexe. Malgré la honte que cela me procure, j'obéi. Valérie me glisse les boules dans le sexe. Puis elle enduit le plug de vaseline tout t'en m'ordonnant de lui présenter le cul. Encore plus honteuse, je le fais et Valérie me glisse le plug dans le cul. Grâce à la vaseline, elle y arrive sans trop me faire mal. -Maintenant que tu es prête, sert nous esclave. J'ai eu beaucoup de mal à faire le service ainsi: les menottes, le plug, le frottement des boules... Sans parler des moqueries de mes copines. A la fin du repas, je fus mise de nouveau nue, et on me fit quitter les menottes pour que je puisse faire correctement la vaisselle. Une fois fait, elle m'ordonne de mixer tout ce que j'avais garder dans le sac: gras, croûte, épluchure, reste... A cette bouille, elles rajoute de l'eau et verse le tout dans une gamelle pour chien qu'elle place au milieu du salon, sur un journal. Puis, elles me remettent les menottes, m'enlèvent le bâillon et m'ordonne de manger le contenue de la gamelle à 4 pattes sans les mains. Morte de honte mais aussi très exister par les boules et le plug, je me suis exécutée. Et puis, j'avais tellement faim... -Regarde cette chienne comme elle mange bien sa pâtée, ricane Valérie. -Oui, elle aime ça ce faire traiter en chienne, n'est ce pas espèce d'enculée? Et elles éclatent de rirent. J'ai eu beaucoup de mal à finir ma gamelle. J'en ai partout sur la figure. -Pouha, dégoûtante. Va te laver. Ensuite tu laves la gamelle, tu ranges et tu fais du ménage. C'est pas parce que tu t'es promenée toute l'après-midi que tu doit négliger ce pourquoi tu as été créé. Valérie me remet le bâillon et le tablier de bonniche. Puis elles filent regarder la télé, pendant que je fait la vaisselle, la poussière, les sols (à 4 pattes bien sur) et le repassage. Minuit. Carole m'appelle. -Tu as fini le ménage, bonniche? Je fais oui de la tête. -Bien, on va se distraire un peu. Carole appuie sur le bouton "play" de la télécommande de la chaîne hi-fi. Instantanément, la musique sort des enceintes. -Danse putain. Danse, lance Carole. Je me mets à danser au rythme de la musique, une danse lascive et érotique. -Mieux que ça salope, lance Carole. Elle accompagne ses mots d'un coup de cravache bien placé. Le premier morceau est fini. Elles arrêtent la k7. Carole se lève, me menotte les mains dans le dos, fixe sur la pointe des seins et sur les mamelons de nombreuse pinces à linge, ainsi que sur mon clito et les lèvres de mon sexe. Puis elle remet la k7. Tout de suite je comprend: la musique est un rock très rapide. Je danse comme je peux, douleur et plaisir (à cause des boules) se mêlent étroitement. De plus Carole et Valérie me frappe au martinet et à la cravache avec beaucoup d'ardeur. Apres 1h30 de ce régime j'en peut plus. Valérie me retire les pinces, les menottes, le bâillon, le plug. Au moment ou elle me retire les boules, un puissant orgasme, trop longtemps contenu me prend et me foudroie. Je tombe à genoux puis m'écroule par terre, secoué de spasme. Carole et Valérie ont un peu peur, mais remarque vite que c'est du plaisir. -Bien. A nous. Carole me conduit dans la chambre de mes parents. Là, elle se déshabille. Une fois coucher, je la lèche longuement puis je fais jouer le god dans son sexe jusqu'a la jouissance. Même chose pour Valérie. 4h du matin. Mes copines se rhabillent alors que moi j’attends à genoux leurs ordres. -Je pense que notre petite chienne doit avoir envie de faire ses besoins non? -Oh oui Maîtresse Carole. Une superbe paire de claque m'arrive en plein sur la figure. -On t'a causé à toi, hurle Carole. -Non Maîtresse Carole, pardon Maîtresse Carole. -T'es vraiment une esclave mal dressée. -Oui Maîtresse Valérie, je suis mal dressée. -Tu sais ce que tu mérites? -Oui Maîtresse Valérie, je mérite une punition. -Oui. Ca au moins, c'est rentré dans ton crâne de piaf. A 4 pattes, chienne. Je me mets en position, le dos bien cambré, les cuisses légèrement ouvertes. Dans mon dos, j’entends mes copines discuter. -Bien esclave. Tu vas recevoir un certain nombre de coup de cravache et de martinet. On ne veux aucun crie de douleur ou un quelconque bruit, sinon, on augmente la punition. De 1 à 10, les phrases paires tu dira "c'est bon Maîtresse, j'aime ça Maîtresse, merci Maîtresse", les phrases impaire "je suis une esclave, une chienne, une serpiere à merde et à vomi". De 11 à 20, les phrases paires tu dira "Je suis l'esclave docile, obéissante et soumise de mes Reines et Maîtresses", les phrases impaires "Je suis un objet, créer pour le plaisir de mes Maîtresses". De 21 à 30 tu dira les mêmes phrases que de 1 à 10. Bien sur tu comptes les coûts. Si tu te trompes, on recommence à zéro. Si tu cries ou si tu fais le moindre bruit, on augmente la punition. Compris esclave? -Oui Maîtresse Carole. -Bien esclave. J'entend carole qui ce place, pose la cravache sur mes fesses, arme son bras et frappe. -1 je suis une esclave, une chienne, une serpiere à merde et à vomi. 2 C'est bon Maîtresse, j'aime ça Maîtresse, merci Maîtresse... Je ne sais pas combien de coup elles avais prevuent, mais Carole me donne 20 coups de cravache, 50 coups de martinet. Valérie me donne 18 coups de cravache et 42 coups de martinet. A la fin, j'étais assez fière de moi. Je ne m'étais pas trompé, ni émit le moindre crie. Mais c'était sans compté le sadisme de mes Maîtresses. Pendant que Valérie me corrige, Carole est aller chercher une ceinture, une brosse à cheveux et un tuteur en bambou. -Ne crois pas que ta punition est finie esclave. Ca c'étais le plus agréable. Carole attaque par la ceinture. Vers 18, je ne peux retenir un léger crie. -Très bien. Tu auras 10 coups de plus. -Oui Maîtresse Carole. J'ai eu 25 coups. Puis Valérie prend le relais. J'ai eu 12 coups. Carole passe au tuteur. Là, la douleur est telle que je ne peut retenir deux cries. Cela me valut 10 coups de plus. J’ai eu 22 coups. Valérie fut un peu moins dure (la fatigue?). J'ai eu 10 coups. Puis Carole se place pour la brosse. -Tu sais que ton cul commence à prendre une jolie couleur rose-rouge, dit Carole. -Avec de belle trace, rajoute Valérie. Moi, Je ne dit rien et ne bouge pas. Je sens mes fesses brûlante et douloureuse. Je crois que je ne pourrais plus jamais m'asseoir. -A la brosse maintenant, dit Carole. Des le premier coup, je crie. -Et bien t'attaque fort ma grosse truie. 5 coups de plus. -Oui Maîtresse Carole. Je dois faire des efforts surhumains pour bien compter, bien dire les bonnes phrases et surtout, ne pas crier. J'ai eu 17 coups de brosse. Valérie se place frappe. -11 Je suis un objet, créer pour le plaisir de mes Maîtresses. 13... non 12 Je suis l'esclave docile, obéissante et soumise de mes Reines et Maîtresses. -Quel dommage. Juste au dernier coup. Tant pis, on recommence toute la punition à zéro. Carole, le martinet est à toi. -Noooooon. -Quoi? Je me retourne et je jette à plat ventre aux pieds de mes copines. -Non pitié, pas ça. J'ai compris, je serais obéissante, soumise, mais pas sa pitié pas ça. J'en pouvais vraiment plus. Mes copine ont du remarquer que ce n'était pas du chiquée. -D'accord esclave, dit Carole. Debout. Je me lève. -Prend tes seins et pressente les nous. -Oui Maîtresse carole. -Pour la peine tu auras 10 coups de martinet par seins. -Bien Maîtresse Carole. Je me mets en place. Carole frappe, je dit les phrases. Puis Valérie. J'ai horriblement mal aux seins et aux fesses. -Couche toi sur la table basse, les fesses sur le bord, cuisses ouvertes. -Oui Maîtresse Carole. Je me place, et Carole, avec le martinet, me frappe le sexe. -Aah. 1 je suis une esclave, une chienne, une serpiere à merde et à vomi. 2 C'est bon Maîtresse, j'aime ça Maîtresse, merci Maîtresse... J'ai eu 12 coups de Carole et 8 de Valérie. 5 heures du matin. -Bon, on va lui faire faire ses besoins. -Bien sur, dit Valérie. Mes copines me font mettre à 4 pattes, me mettent les boules, le plug, le bâillon les pinces aux tétons, seins et sexe, puis comme la veille, partent vers le parc. Dans la rue, mes copines me tiennent en laisse et discutent comme si elles sortaient une vraie chienne (mais après tout, ne l'étais-je pas ?) Arrivé au parc, on me conduit directement au WC pour chien. Là, je ne me fait pas prier pour faire: pipi et caca (après avoir retirer le plug). Puis Carole me détache. Mes copines vont s'assoire. Moi, on me débâillonne et j'ai ordre de gambader. De temps en temps, mes copines me lances des bâtons que je dois ramener dans la bouche. Au bout d'un moment, Valérie m'ordonne de m'asseoir à genoux, comme une chienne et de ne pas bouger. Elles partent sans me dire leur destination. Au bout d'un moment que me semble une éternité, je les vois revenir, toujours discutant tranquillement. -Debout lance Valérie. Tourne-toi, mains dans le dos. Je m'exécute. Valérie me menotte les mains et les pieds et me bâillonne. Puis elle passe la laisse autour d'un tronc et m'y attache par le collier.

  • On a jugé que tu étais trop désobéissante. Alors, pour te punir et te dresser, on va te laisser ici toute la nuit, jusqu'a demains 10h. Si personne ne recueille la petite chienne abandonnée, on viendra te récupérer. En étaient-elles vraiment capable? Prise dans le jeu, je le croyais. Je les vois partir, alors que je suis nue, a genoux, attacher. 6H, puis 6h30. Oui, elles vont le faire. Puis subitement, alors que le jour commence, elles reviennent, le détache et me ramène à 4 pattes à la maison. Là, je suis coucher comme la veille, avec en plus, le plug, les boules et les pinces sur les seins et le sexe. -Bonne nuit Maîtresse Carole. Bonne nuit Maîtresse Valérie. Je n'ai aucune réponse.

Vers 15h, Valérie me réveil à coup de martinet. Je me lève, me prépare, leurs sert un déjeuner au lit. Puis pendant qu'elles se préparent, je dois enlever les draps, ranger les lits, faire le ménage de la chambre, nettoyer la salle de bain et faire la vaisselle. Pendant ce temps, mes copines se prélassent et m'interrompe souvent pour que je leurs servent à boire ou autre. Il est 18h30. Je commence à être inquiète car mes parents doivent rentrer vers 19h. Carole m'appelle. -Ma Maîtresse m'a appelée? -Cela suffit Sophie. Ton esclavage est fini. Va vite te rhabiller. -Merci Maitress... Euuuh oui Carole, ok. Quelques minutes après, je reviens. -Alors, j'étais comment? -Super, dit Carole. Tu as été super. Une parfaite esclave, soumise et tout. Un régal. -Je te l'avais dit que j'étais soumise et que j'aimais être humiliée. Et toi Valérie? -Extra. Quant Carole m'en a parlé, je ne pensais pas que tu serais aussi soumise. -Et oui. Une vraie chienne. -Et moi j'étais comment, demande Carole. -Super, parfaite, sévère, sadique, humiliante. Vraiment bien. -Je te l'avais dit que j'étais domi et que j'aimais dirigé. -Et moi, demanda un peu timidement Valérie. -Tu as été parfaite. Un peu résistante au début, mais tu t'es vite laissée prendre au jeu. -C'est Carole qui m'a dit que j'avais ces tendances. -Ahhh elle en sait des choses notre Carole. -Eh, la psycho, ça peut servir à tout, plaisante Carole. -Mais pourquoi m'avoir fait venir, demande Valérie. -Ben, je ne voulais par être dominée seule par Carole. Je lui fais confiance, mais j'avais un peu peur. Je voulais une autre personne avec nous. -Vous allez recommencée? Carole et moi, nous nous regardons mutuellement. -Certainement oui, et tu sera la bienvenue. -Super, merci.

J'adôôôôôôôre
Publicité en cours de chargement